À peine un mois après avoir déclaré qu'il éliminerait les peines de prison pour les journalistes et qu'il eut levé certains interdits visant des publications censurées, le gouvernement de Bahreïn fait volte-face. Les autorités du pays s'abattent sur les journalistes d'opposition, les sites web et même les dirigeants des mosquées parce qu'ils alimenteraient les tensions sectaires et menaceraient la sécurité nationale, indique le Centre des droits de la personne de Bahreïn (Bahreïn Center for Human Rights, BCHR).
Bahreïn - LE GOUVERNEMENT RAVIVE LES TENSIONS SECTAIRES AFIN DE JUSTIFIER LA RÉPRESSION DE LA PRESSE
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